• chapitre 9

    chapitre 9: les difficulté commence

    La nuit étais tomber, nous nous retrouvions toute les trois dans notre chambre, bien que petite, elle étais extrêmement confortable, le temps c’étais refroidit mais sans plus

    « vous vous rendez compte, plus que trois jour et nous serons a Paris » dis Sindi les joues rougie d’excitation

    « Oui, mais il faudra nous organisé, comment on va s’y prendre là-bas ?» renchéries Alex

    Comme toute patate je me laissai tombé sur mon lit en expirent n’ayant absolument rien entendus de la conversation : « je suis crevé »

    Ni une, ni deux, Alex et Sindi se jetèrent sur moi en me chatouillent, mon souffle fus presque coupé lorsqu’elles me libérèrent enfin : « vous avez failli me tué ! » criai-je d’une voie que je voulais en colère, mais je ne pus empêcher un sourire de se formé sur mes lèvres, On s’installa toute ensemble sur mon lit,

    « Plus sérieusement, qu’es qu’on va faire a paris ? Ou on va dormir ? Qu’es qu’on va manger ? Et notre école ? »  dis Alex

    « ben, moi je propose, de rentré dans un lycée public ou il n’y aura pas de frais à payé, et de cherché un boulot a temps partiel » répandis-je

    « oui, là-bas aussi, je pence qu’il peut y avoir une maison de jeune comme chez nous, les pris y sont abordable, donc en pourra y resté le temps d’économisé pour nous payé un appart, et si chacune de nous a un salaire sa sera suffisant » rajouta Sindi

    Nous parlâmes encore quelque heur avant de s’endormirent toute les trois complètements épuiser.

    Des cris se fessais entendre de partout, le bateaux chaviré, et j’ouvra précipitamment les yeux tous comme mes deux amies, mon regard se dirigea vers le réveille ou étais marqué l’heur suivante : 04 :12 précise, au début j’avais crus que je rêvais mais très vite j’ai compris que malheureusement ce n’étais pas le cas, les hurlements redoublais et mon cœur se serra alors que le bateau fessais des tours de montagne russe, non quelque chose cloché, et le son du tonnerre qui éclaté confirma mes pensés, nos regards croisé, et l’incapacité de parlé. Nous prenons nos sac à dot et courrons vers le pont, là-bas une masse de personne survolté courrais de tous coté pour se jeté sur les bateau de sauvetage et bizarrement nous en fessions nous même partit, j’avais l’impression de vivre dans un film, personne ne voyais personne et nous étions ainsi invisible au yeux de tous, j’entendis soudain quelqu’un hurlé a la recherche d’un médecin, l’enfant en question passa a coté de nous en continuant son tintamarre l’air pale et complètement effrayé, il supplier les passager qui le poussais sans aucun scrupule, mon cœur se serra en voyant les larmes ruisselant le long de son visage et je me précipita a sa rencontre suivis de près par mes sœurs, en arrivant devant l’enfant qui devait avoir a peine huit ans, je lui tendis la main pour l’aidé a se relevé.

    « Pourquoi as-tu besoin d’un médecin ? »Dis Alex brisant ainsi le silence qui semblait régné depuis des décennies.

    « maman… elle a perdu les eaux, elle est en plain accouchement » dit il entre deux sanglots : « je vous en supplie, aidez moi »

    « oh mon dieu » fus les seuls mots que j’eu le temps de prononcé avant d’accourir guidé par le petit vers la chambre de sa mère.

    Des cris se fessais entendre, depuis maintenant quelque minute le Bébé avais commencé a apparaître, c’est Sindi qui géré l’opération, Alex l’assisté, et je ramené le nécessaire qui se trouvé dans la chambre tout en essayant de calmé Cris son première enfant complètement paniqué. Le premier cri se fis entendre, Sindi la pris dans ses bras, et je regardai le bébé en souriant avant de dire : « c’est une joli petite fille Madame Midi » cette dernière sourie alors que je lui déposé son nouveau née entre les bras : « Évangeline, bienvenus parmi nous » dis cette dernière

    « c’est un très joli nom »  dit Sindi.

    Nous acquissions par un signe de tête avant de se dépêché d’aidé la mère a enfilé son manteau, Evangeline fus enroulé dans quatre draps, et nous les aidions a sortir, par miracle tous le monde avais déjà embarqué, il resté encore deux place dans la première barque et nous les laissâmes à Mindi et son fils, le surveillant nous prescris d’allais de l’autre boue du bateau ou se trouvé une autre Barque avec quelque place, on courue alors telle des dératés, nous commencions a voir notre salut apparaître lorsque celui si nous fis faux bon, les lianes se coupèrent et le seul moyen de s’enfuir fus emporté par les vagues, lui et ses passager, mon cœur se serra, nous étions seul, seul sur un bateau desserre qui allais bientôt coulé. Je tombai agenouillé au sol, pourtant « sa ne devais pas se passé comme sa, il ne devait pas y avoir d’orage, on devait simplement arriver à Paris et prendre un nouveau départ, on aurait du avoir plain de nouveau souvenir, étions nous maudite ? Nous allons mourir ? C’est sa notre destin et de finir engloutit par les océans. » Une gifle monumentale s’abattus sur ma joue.

    « reprend tes esprits » hurla alors Sindi : « je t’interdis de pensé  à sa tu m’entends, je te l’interdit. Rien est perdus, tu m’entends, nous allons réussir et arrivé a paris en vie »

    Elles me prirent chacune l’une de mes mains pour m’aidez à me soulevé et je me retrouvai sur mes deux gambes, oui nous n’étions pas morte, nous ne somme pas encore morte.

    « Allais, Sindi tu prend tous se qui peut nous servir, des draps, de l’eau, de la nourriture, des vêtements, tous se que tu trouve et l’apporte ici, pendant se temps Lila tu viens avec moi en va se trouvé un moyen de ne pas coulais, on se retrouve dans 10 minute ici, dépêchons nous»

     

    En se sépara alors, pour commençais notre course effréné contre la montre, mon cœur fessais des allé retour alors que je risqué a tous moment de perdre l’équilibre le bateaux descendais petit à petit se remplissant d’eau, nous avons fais l’impossible pour réussir l’exploit de démonté trois porte en bois et de les ramenais la ou nous attendais Sindi, elle avait ramenais beaucoup de chose nous attachions les trois porte les une aux autre grâce à des lianes trouvé par les soins de Sindi, et par la même occasion bloquant les affères ramassé par Sindi, nous jetant alors le radeau a l’eau et y descendant, et que se fus une chance ou bien une malédiction, à peine étions nous éloigner de quelque mettre du navire que celui-ci sombra dans les flots. 

    voila enfin après six mois d'absence sur cette fic ou bien plus voici pour vous le chapitre 9, j'espère que vous avais aimé, s'il vous plais donné moi vos avie par com's et merci d'avoir lus byyyyyyye byyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyye :) ^^  tongue   happy


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