• Chapitre 5: La promesse à respecter: ne jamais pleurer

    Point de vue de Lila:

    À ce moment précis, la porte s'ouvra à la volée. Je sentis deux bras m'entourer, deux bras chauds et réconfortants. Ceux d'une mère, mais ce n'était pas la mienne, c'était ceux de la mère d'Erica, ceux de Stéphanie. Peut-être n'aurai-je pas dû, mais j'ai fermé les yeux. J'ai pris du plaisir à cette étreinte tellement chaleureuse. À cet instant-là, je l'avais réellement prise pour ma mère; le même parfum, la même sensation. Je savais que ce n'était pas elle, mais je ne pouvais m'y faire; mes deux mains, tremblantes, l'entourèrent comme s'ils refusaient de la laisser partir. Un mot, le seul que je ne pensais plus jamais dire à personne et que je regrette d'avoir laissé échapper:

    "… maman…." je la lâchait alors à toute vitesse. Qu'avais-je dis?! Choquée, je fais quelques pas en arrière et dit "Désolée, excusez-moi, ça m'a échappé" 

    "Ça ne fait rien, tu sais que ça ne me dérange pas" dit Stéphanie, regardant chaleureusement la jeune fille toute timide qui, il y a deux heures encore, jouait aux rebelles.

    "Merci" répondis-je simplement. Cette accolade m'avait fait souvenir d'une partie de ma vie à la fois chaleureuse et sombre.

    Flash back:

    À ce moment-là, je n'avais que sept ans. Je ne savais rien de la vie alors comment aurais-je su ce que pouvait bien être la mort? Ma mère m'avait dit que papa était parti dans un endroit loin de chez nous, mais qu'il nous surveillait et veillait sur nous. Pour moi, c'était ça, la mort. Un voyage qu'on entreprend un jour pour veiller sur ceux qu'on aime.

    Ma mère était à l'hôpital depuis maintenant quelques mois. D'après ce que disent les gens à l'école, nous sommes "pauvres" depuis que papa à quitté la maison. Rien ne s'arrange; les dettes nous ont recouvert, ma mère a besoin d'une opération, mais nous n'avons pas assez d'argent pour la payer donc elle devait subir un autre traitement qui était un peu plus long. Maman me manque beaucoup. La voisine qui s'occupe de moi est très gentille, mais moi, je veux pouvoir revoir ma maman et dormir avec elle. Je veux qu'elle revienne à la maison. On dit que c'est de ma faute si papa est parti. J'ai pleuré, mais maman, elle, elle me sert toujours dans ses bras, elle ne m'en veut pas. Papa m'a toujours dit que je devais l'appeler si j'avais peur, mais cette fois-là, je n'aurais pas dû l'appeler, c'est ça? C'est pour ça que papa est parti? Parce que je l'ai appelé? Rendez-moi mon papa, je ne l'appellerai plus, je règlerais tout toute seule. Mais s'il-vous-plaît, rendez-moi papa. Je serai sage papa, je te le promets, papa. Reviens, papa...

    Comme tous les après-midi, j'ai pu aller voir maman. Quand elle m'a vu, elle m'a fait l'un de ses plus beaux sourires. Je courrais vers elle pour la prendre dans mes bras, elle m'enlaça. Maman sent toujours aussi bon, c'est l'odeur d'une fleur. Oui, je me rappelle de son nom; c'est le jasmin, c'est sa fleur préférée. Ce contact m'aide à oublier ma journée catastrophique que je vis quotidiennement. Elle me caressait doucement les cheveux et je fermai les yeux:

    "Maman, je t'aime" dis-je tout doucement.

    Elle me répondit par un "moi aussi" rempli de chaleur, elle me demande si j'ai passé une bonne journée. Non, je ne veux pas qu'elle s'inquiète, je ne laisserais pas maman partir comme papa. Je souris, je serais une gentille fille comme je l'ai promis pour que papa revienne, pour qu'on soit à nouveau comme avant. J'invente une journée magnifique avec une amie imaginaire qui s'appelle Mila. Une journée où on ne m'aurait pas traité de monstre, mais de gentille fille. Pas de pauvre, mais d'ordinaire. Où on ne m'aurait pas frappé, où je serais seulement tombée. Une parfaite journée pour une gentille petite fille maladroite. Ma mère me sourit de toutes ses dents, je suis heureuse; j'ai réussi à la faire sourire! Elle commence à tousser et ne s'arrête plus. Non, maman, qu'est-ce que tu as? Elle s'arrête de toussé.

    "Maman, tu vas bien?" demandai-je tout doucement en la prenant dans mes bras.

    "Oui ma puce, ne t'en fais pas, je vais bien et je serais toujours auprès de toi. Tu le sais, n'est-ce pas?"

    "Maman, tu ne vas pas partir, n'est-ce pas? Tu vas rester avec moi? Tu sais, j'ai vu une étoile filante, celle tu que tu m'avais montrée et j'ai fait un voeu: quand tu vas sortir, papa va revenir de voyage et, tu verras, on sera à nouveau tous ensemble. Maman… maman, pourquoi tu pleures?"

    Elle me prend d'un coup dans ses bras au point de me broyer les os, mais ce n'est pas douloureux, car c'est ma maman:

    "Ne pleure plus, maman. Aller, c'est fini. Qu'est-ce qui ne va pas, maman?" sans même le savoir, des larmes commençaient à couler le long de mes joues.

    "Je ne pleurais pas. Mais toi aussi, promets-le moi, d'accord? Je serais toujours près de toi, là, papa et moi, on sera toujours dans ton coeur, d'accord? Alors tu ne dois pas pleurer, sois forte et toujours joyeuse. Quand tu auras besoin de nous, que tu douteras, à chaque instant, on restera à tes côtés, on te regardera à chaque instant alors, promets-moi. Promets-moi d'être courageuse, de toujours montrer ces beaux sourires. N'oublie jamais, tes yeux sont mes yeux" elle pointa mon coeur et je souris:

    "C'est promis, je ferait tout pour que tu sois fière de moi" dis-je en arrêtant la route de mes larmes.

    "Mais je le suis déjà!" dit ma mère en m'essuyant ma joue humide.

    Cette nuit-là, j'avais pu dormir avec elle. C'était la première fois depuis longtemps; je suis restée dans ses bras, mais malheureusement, c'était la dernière fois.

    Le lendemain, alors que je secouai ma mère en lui demandant de se lever, rien n'y faisait. Des médecins sont apparus et j'ai revu la scène d'il y a quatre mois. Une date, une heure. Celle de cette minute, son nom, le nom de ma mère. Elle m'a quittée, elle a rejoint papa. Pourquoi? J'ai été une bonne fille alors, pourquoi? Je n'ai pas pleuré, alors pourquoi? Qu'es-ce j'ai fait? Qu'est-ce que je n'ai pas fait? Les larmes allaient remonter, mais je les retenais; je ne pleurerais pas devant quelqu'un qui n'est pas de ma famille. Non, je ne pleurerais pas, je l'ai promis à maman. Les seules personnes devant lesquelles je pleurerais sont dans mon coeur alors je pleurerais seule. Personne d'autre que ma famille ne pourra me voir ainsi.

    Après ça, j'ai été transportée dans un orphelinat. Tout le monde était gentil avec moi, là-bas. Comme dans les histoires que je racontais à aman. Mais moi, je n'y arrivais pas. Je ne pouvais pas rire, mais je n'avais pas le droit de pleurer alors rien, rien n'apparaissait sur mon visage; que ce soit de la joie, de la tristesse. Rien. Je restais dans le même était alors que les mois passaient. Je ne pouvais penser à autre chose qu'à mes parents. Oui, j'étais seule, seule avec mon coeur. Là où maman et papa se trouvaient.

    Un an encore a passé et c'est là qu'elles sont arrivées. Alex et Sindi, deux filles du même âge que moi. Elles avaient un visage tellement triste. Oui, on était pareilles. C'est en me rendant compte de ça que je me suis rapprochée d'elles. Au fil du temps, on est devenues inséparables. En leur compagnie, j'ai peu réapprendre à sourire, mais je ne pleurais pas. Non, même devant elles, je ne le pouvais. Je n'en avais pas le droit et de plus, je ne leur ferais que de la peine. Au fil des années, on est devenues de véritables soeurs et on ne pouvait plus se passer les unes des autres.

    Fin du flash back

    Je repris mes esprits et la regardai dans les yeux:

    "Madame, je suis désolée de m'être comportés ainsi, mais je ne voyais pas d'autres chois. Il faut absolument que je reste à l'orphelinat. Je dois rester là-bas. S'il-vous-plaît, laissez-moi y retourner, ne nous séparez pas!"

    "J'ai un compromis pour toi: reste avec nous pendant cette semaine et nous te reconduirons à l'orphelinat à la fin" dit-elle avec un sourire.

    "Ce sera avec plaisir, j'accepte" dis-je, un large sourire aux lèvres.

    Comme convenu, je suis restée avec eux tout une semaine. C'était superbe; plage, parc, jardin, karaoké… je me suis bien amusée! Avec Erica, on s'entendait très bien et j'étais très heureuse à l'idée que tout ça se soit bien passé.

     

     

    l'ile de l'amitié chapitre 5: le passé de Lila

    l'ile de l'amitié chapitre 5: le passé de Lila

     

     

    l'ile de l'amitié chapitre 5: le passé de Lila

     

    l'ile de l'amitié chapitre 5: le passé de Lilal'ile de l'amitié chapitre 5: le passé de Lila

     

    Texte rédigé par Melina01 et corrigé par LaFilleDuCoin.


    12 commentaires
  • Chapitre 6: Juste un au revoir

    Après une semaine, comme convenu, j'ai pu retourner à l'orphelinat en compagnie de la famille Silla. À mon grand bonheur, j'ai revu mes soeurs et me suis littéralement jetée sur elles. Alex et Sindi semblaient aussi heureuses que moi et surtout, nous étions soulagées que tout se soit bien passé. La directrice, en apprenant la nouvelle, me regarda. Je lui souris alors qu'elle soupire. Elle haussa les épaules et dit tout doucement:

    "À quoi pouvais-je bien m'attendre venant de leur part?"

    Nous nous sommes alors retenues d'éclater de rire. J'ai regardé le ciel bleu; il faisait si beau. Maman, tu vois ce ciel? Je ferais tout mon possible pour que, quoiqu'il arrive aujourd'hui, tout ce que tu verras sera aussi beau que ce paysage.

    Cette nuit-là, j'ai eu une longue discussion avec Alex et Sindi. C'était évident; si ça continue comme ça, d'autres familles risquent de vouloir nous adopter individuellement et ça risque de ne pas se passer aussi bien qu'avec Erica. Après de longues désapprobations, nous avons fini par nous mettre d'accord; nous allons nous enfuir. Ainsi, nous en sommes certaines, nous pourrons recommencé une nouvelle vie.

    Une autre semaine s'était écoulée. Une semaine où nous avions passé le plus clair de notre temps avec nos amis. Une semaine où nous avions finalisé les derniers détails concernant notre départ. Une semaine qui nous sembla si courte, mais en même temps si longue. La dernière semaine passée dans l'endroit où nous nous sommes rencontrées et désormais, c'est la nuit; tout le monde s'est endormi. Nos valises sont sous nos lits, nous avons mangé, écrit une lettre et l'avons déposée sur le bureau. Il est minuit. Tout va commencer maintenant. Nous nous regardons à la fois terrifiées, excitées, mais surtout déterminées. Le balcon fut notre porte. Pour ne pas attirer l'attention, nous passons par le jardin de derrière en prenant bien soin de ne pas attirer l'attention de la surveillante. Là-bas, le grillage est cassé. Alex et moi passons les premières, nous nous tournons vers Sindi qui n'a pas encore bougé et semblait pétrifiée.

    "Je ne peux pas" dit-elle en bégayant, visiblement sur le point de pleurer.

    Elle se tut quelques minutes alors qu'on revenait en arrière vers elle:

    "Je suis désolée, c'est juste que... c'est tellement difficile, je n'y arrive pas. Je n'arrive pas à leur dire adieu; c'est juste que..."

    J'avais posé ma main sur son épaule et ses larmes étaient désormais à terre. Je la reprochais de moi pour la serrer dans mes bras. Ce sentiment qu'elle ressent, la peur de les perdre, de ne plus les revoir, la peur de leur dire que nous ne nous reverrons peut-être jamais; je le savais, je le ressentais et Alex aussi, j'en suis persuadée. Je la regardais alors qu'elle se laissait aller, des souvenirs de ces dernières années envahissent mes pensées; c'est tellement difficile de dire adieu. Pourtant, je me souviens le premier jour que j'ai passé ici. Je ne rêve que d'une seule chose: sortir. Mais c'est loin d'être facile.

     

     

    l'ile de l'amitié, chapitre 6: un en revoir n'est pas un adieu

    l'ile de l'amitié, chapitre 6: un en revoir n'est pas un adieu

    l'ile de l'amitié, chapitre 6: un en revoir n'est pas un adieu

    l'ile de l'amitié, chapitre 6: un en revoir n'est pas un adieu

    Voici une nouvelle
     

     

     Ton nom c'est bien Lila, n'est-ce pas?

     l'ile de l'amitié, chapitre 6: un en revoir n'est pas un adieu Eh bien! Tu ne sais pas ce que c'est noël? 

     Tu verras, c'est très amusant! l'ile de l'amitié, chapitre 6: un en revoir n'est pas un adieu

     l'ile de l'amitié, chapitre 6: un en revoir n'est pas un adieuOn restera toujours ensemble, n'est-ce pas?l'ile de l'amitié, chapitre 6: un en revoir n'est pas un adieu

     

    Et bien la trouillarde, vous êtes nouvelles, n'est-ce pas? Sindi et Alex

    Vous êtes tous mes amis

     

     

    Je regardai Sindi et lui sourit:

    "Nous ne leur dirons jamais Adieu, Sindi. On en est incapable tout autant que toi. Mais ce n'est pas un adieu, on reviendra ici; je peux te l'assurer. On reverra tout le monde, c'est juste un au revoir"

    Alex sourit à son tour: "Oui, juste un au revoir"

    Sindi me montra alors sa petite frimousse: "Merci, les filles" dit-elle doucement.

    Elle nous attrapa par la main et tout en marchant, dit: "Alors dépêchons-nous! Sinon, on va être remarquées"

    "D'accord" faisons nous en choeur.

    Nous sommes sorties du bâtiment et avons marché quatre longues heures sans nous arrêter. Dans une petite ruelle, nous avons fini par nous endormir, exténuées.

    Voilà le chapitre 6! Je tiens à préciser que dès maintenant, je parlerais toujours en nom de Lila. À plus et dites-moi ce que vous en pensez, car c'est maintenant que la véritable histoire va commencer. Je ne serai pas là ce soir; je pars dormir chez ma tante, donc j'ai posté ce chapitre. Maintenant, à plus! Demain, je mettrais une nouvelle mini-histoire et, normalement, le prochain chapitre de cette fic ^^

    Texte rédigé par Melina01 et corrigé par LaFilleDuCoin.


    6 commentaires
  •  

    Je sens quelqu’un me secoué vivement, des bruits, de quoi ?, comment se fait-il que j’entende des bruits de pas ? En plus l’horloge n’a pas encore sonné, nous avons encor du temps, mais mon lit est dur, j’ai l’impression que je suis par terre, j’ouvre un œil difficilement, Alex et Sindi sont à coté de moi, mais où est que je suis ? ce n’ai pas ma chambre, je regarde les alentours, une ruelle, je me rappelle hier nous sommes parti de l’orphelinat, et on a fini par s’endormir ici, je regarde de nouveau mes deux sœurs avec un peu moins de surprise,

    chapitre 7:et dire que je les déteste

    « dite, vous savez quel heur il est ? » dis-je en me graton la tête

    Alex me sourit et se lève accompagné de Sindi: « eh bien il est neuf heures, espèce de fainéante », Sindi renchérie alors: « tu sais combien de temps en a dû te secouer pour que tu daignes ouvrir un œil»

    Je ne pus alors me retenir, et éclatai littéralement de rire : « on ne peut pas dire que je sois du matin » je m’arrêtai et soupirai pour ensuite continuer : « cinq heures de sommeil, ce n’est pas vraiment ce que j’appelle une bonne nuit »

    « Allais, fais pas ta rabat-joie, en doit y aller maintenant » me dit Alex en me tendant la main, je la saisis et me relevai, époussetant quelque peut mon pantalon et on se mit à marcher tous droit devant, à cette heure, l’orphelinat à sans doute dus se rendre compte de notre disparition, sont-ils à notre recherche ?, sans doute, que peuvent-ils bien pensaient ? je m’excuse, désolé d’être parti comme des voleuses, en se reverra j’en suis sûr, mais ça ne sera pas avent un long moment, vous me manquiez déjà, mais on ne reviendra pas en arrière; il faut qu’en avance vers notre future.

    on marche sans trop savoir ou en va, on marche à l’encontre de l’orphelinat, tous droit devant, et nous voilà enfin devant, « le port ?» dis je en regardant mes amis, surprise comme moi de l’endroit ou la route nous à mener, elle soulève les épaules alors que la même idée sembla comme un éclair frappée nos subconscients, un sourire de victoire sur nos trois visages, pas besoin de demander en sait déjà à quoi nous réfléchissent, et à trois en prononce la même phrase : « direction parie » l’endroit dans nous avons toujours rêvé, si le but est de repartir à zéro autant le faire là-bas

    « Nous n’avons pas les moyens de nous offrir le trajet » dit sindhi nous arrachant ainsi la bonne humeur qui était apparus

     « Toi, on peut dire que tu au chic pour zapper le moral » dis-je un soupire à la fin de ma phrase, elle me sourit en rigolant

    Alex se joignait alors à la conversation : « ça ne fait rien, vous pensez qu’en peut voyager à pied .»

     « Non, mais tu es malade ! C’est tout simplement impossible » rependis-je en cœur avec Sindi

     « oui, c’est vrai que se ferais un peu loin » Alex, Alex, franchement parfois je me demande ce qui arrive à ton cerveau, nous commencions à penser à une solution, sindi renchéri alors : « je me demande si on peut négocier avec des marins »

     « Bonne idée, on a cas monté sur un bateau, et travaillé le durer du voyage pour payer le trajet» dis-je un poil plus excité

    Après avoir toutes accepté cette idée, on entama nos recherches, aux tous deux bateaux vend appareiller ce matin, et deux autres partirent le soir, mieux vaut s’éloigner d’ici le plus vite possible avant que la police ou bien l’orphelinat nous retrouve, nous avons réussi à trouver un terrain d'entente avec le capitaine d'un bateau touristique, nous travaillerons à bord en tant que serveuse, et femme de chambre, il était onze heures du matin lorsque notre destin changea irréfutablement, plus rien ne restera tel qu'il était, mais à ce moment la je ne savais pas encore que tout allait basculer à ce point.

    Le voyage durera cinq jours, le temps en ce moment est calme, ce qui est un bon présage pour un voyage en pleine mer, se avec qui en voyage sont à ce qui pare des riches, patron d’entreprise, affère familiale florissante, on peut dire que le luxe ne laisse vraiment pas à désirer, je déteste se milieu, ils se croient tous permis tous sa parce qu’ils ont de l’argent, à ce que je sache, nous sommes tous humains nous méritons le même traitement, alors pourquoi eux peuvent tous se permettre, alors que d'autres ne peuvent même pas s’acheter de quoi manger, ou bien se soigner; et si ce n’était que sa, pourquoi prennent-ils tout le monde de haut ?, ils m’énervent tellement, je sens que cette semaine va être très longue, oh maman, faites que je ne fasse aucune gaffe.

     Nous avons eu trois tenus, et nous nous sommes changé, elles sont comment dire très loin de ce que je porterais habituellement, une robe blanche arrive juste au niveau du genou, très simple avec un motif sur le bas en bleu qui représente le logo de ce bateau, par-dessus pour l’accompagner un tablier bleu océan avec de la dentelle blanche, je dois avouer qu'elle est sublime, mais a nous les a donné pour une seule ressent et je cite : « vous êtes des serveuses donc vous devrez vous montrer devant nos passagers et je refuse catégoriquement qu’on vous voie accoutré avec ses horreurs; de plus vos cheveux doivent être monté en queux de cheval, c’est compris ?!» ce que je peux détester ses gens, qu’a-t-elle donc ma tenus, je voudrais qu’en me le dise ? ahh, j’ai une folle envie de meurtre rien qu’à devoir servir ces êtres, et dire que c’est moi qui avais proposé de trouver du travail.

    Nous sommes rendus à notre deuxième jour, aujourd’hui j’ai étais assigné à la chambre 86, on va bien voir ce qui m’y attend, je prends une longue respiration et toque : « bonjours, je suis ici pour faire la chambre », on m’ouvre la porte, et là …

     

    Quoi vous voulez la suite, et ben il faudra trois commentaires de différentes personnes (bien sûr moi je compte pas :P) je tiens à dire, pour ce qui en déjà lus mon fic, que la il y aura beaucoup de changements j’ai eu quelque idée et on peut dire que ça m'a inspiré, allez à plus


    4 commentaires
  • chapitre 8: faites que j'arrive à me maîtrisé

    On m’ouvre la porte et la qu’es que je voie, un garçon du même âge que moi, il à les cheveux roux, et des yeux d’un marron si profond qu’on pourrait si noyais, il est de la même taille que moi, on se regarde quelque instant, avant qu’il me souri et me laisse entrée, je m’exécute alors qu’il se prépare à sortir, je fini par remarqué : « vous êtes tous seul dans cette chambre ? »

    « Oui, mon frère est déjà partit prendre le petit déjeuné, en faite tu peux me tutoyais on à le même âge je crois, moi c’est jack, ravi de te rencontré »

    « Moi, Lila de même » dis je un énorme sourire au visage en moins il à l’air sympa

    « Bon, je dois sortir, s’il te plais si mon frère reviens tu pourrais lui dire que je suis au buffet »

    « Sans problème » rependis-je « bon petit déjeuné »

    « Merci » dit il avant de partir

    Bon maintenant au travaille, je refais le lit avec de nouveaux draps, mets les autres à laver, change les serviettes, de nouveau champoing et gel douche, et voilà il ne me reste plus qu’à nettoyer le sol, je remplis mon sceau, et frottoir en main, me voilà paré.

    Il ne me reste plus qu’à épongé tous sa et j’aurais fini avec la chambre, j’allais m’y mettre lorsque quelqu’un ouvre la porte, je me retourne et n’ai même pas le temps de dire un mot, que j’entends un bruit sourd, mon dieu, je me précipite sur le pauvre malheureux qui viens de glissé : « vous allez bien ? » dis-je en lui tendant la main, il ne la saisi pas et se relève sans mon aide : « vous auriez pu me prévenir avant ! » dis le jeune inconnus,

    « Comment voulez vous que j’arrive a vous prévenir, alors que je n’ai même pas eu le temps de prononcé un mot, et puis d’abord, qui êtes vous et que faite vous ici ?!» rependis-je

    « je suis marc, et ceci est ma chambre » dit il avec un air qui voulez sans doute dire ‘’tu est stupide ou quoi ! ‘’ il à des cheveux bruns claires, un peut plus rand que moi et des yeux d’un noir si intense, tiens se regard il me rappelle quelqu’un, oui, c’est son frère ! Mais ils sont complètement opposé, en dirais le jour et la nuit, jack m’a paru gentille, mais marc me donne l’impression du parfais enfant pourrie gâté, bon je ne dois pas juger sans connaitre, la première impression n’est pas souvent la bonne, de plus, je ne voie pas en quoi sa me  concerne vus que je le reverrais plus jamais après se voyage.

    « en faite tu ne saurais pas ou est mon frère ? » dit il en regardant de gauche à droite

    « oui,  il est partit au buffet, il à dis que tu pourrais le rejoindre là-bas » rependis-je

    « d’acore alors j’y vais » il pris ses affère pour partir et j’allai recommençais à nettoyais parfaitement en paix lorsqu’il s’arrêta devant la porte et dis : « et enfaite, la prochaine foi que tu passe la serpillère évite de tuer quelqu’un » et il ferma la porte

    Je rougie ! Pourquoi je rougie moi ?, haaaa, je le hais, décidément je retire se que j’ai dis, ma première impression avec lui étais la bonne, aaaaa, ces riches, j’ai envie de hurlé, si je deviens un jour comme sa, j’aimerais  qu’on m’attrape et me torture pour le restant de mes jours jusqu’à se que je reprenne la raison, franchement !!! ET ON PLUS JE VAIS PASSER LE VOYAGE AVEC LUI !!!!! Maman, s’il te plait si tu me surveille veille à se que je ne fasse pas de bêtise.

    Dès que je termine, je rejoins la cuisine et enfile mon tablier, Sindi n’est toujours pas la, et Alex me sourie en me demandent comment sa c’étais passé, mon regard en dit long, et qu’es que me repend ma chère sœur plaine de compassion ?  Elle rie, oui c’est bien sa, Alex est une sadique de première ordre, elle s’arrête devant ma tête de tueur en série, et me fais une tape amical dans le dos,

    « ne te défoule pas sur moi, je n’ai rien fais. Allais je compatie, je sais que tu les déteste » me dit elle alors que je ne crois aucun mot de sa dernière phrase, devant mon regard peut convaincus, elle me sourie et dit : « allais arrête de faire la tête, en va nettoyais la vaisselle, elle commence à s’’entacé »

    En effet une montagne d’assiettes étais en pillé, et je ne parle même pas des verres, mais bonté divine, il n’est que neuf heure, et on est au milieu de l’océan, pourquoi les passager se lèvent-t-ils aussi tôt, moi à leur place, je ferrais la grâce mâtiné, ah, décidément je n’y comprends rien, qu’on en à rien à faire autant en profité.

    Deux heures à nettoyais non stop la vaisselle, je lave, Alex s’occupe d’enlevé le savon avec l’eau, et Sindi, essuie et range, tous sa en prennent bien soin a ne rien cassé  de ses servisses en porcelaine, qui à eux seul, (IRONI DU SORT) pourrons nous payée un appartement à pari , après avoir fini, j’étais épuisé, mais se que je ne savais pas c’est que non, nous n’avions pas fini au contraire sa ne fessais que commençais, il est midi, l’heure du déjeuné, les tables en déjà étais misse et les clients commence à entré, en nous désigne à chacune cinq tables dans en dois s’occupé, pour moi la 1, 4, 9, 12 et 23, très ingénieux puisque chacune d’elle est à deux km de la précédente, je dois attendre mes client à l’entrée, la première fus une vielle femme qui fessais je pense 50 ans, de petite taille, un chignon parfaitement fais et un costume plus que serré, j’ai envie de rire rien qu’en la voyant mais je me retiens par politesse et l’accompagne à sa table, elle prend une bonne dizaine de minute pour se décidé sur quoi manger, je note la commende sur mon calepin et part chercher le tous, cinq minute plus tard je lui ramène tous sa sur un plateau, un « bonne appétit » et « si vous avez besoin de quoi que se soit n’hésitais pas » et je m’en vais, les suivant à arrivé sont un couple de bourgeois parfaitement assortit avec leur habit de haute couture ainsi qu’une petite famille qui j’avoue me donné l’impression que ses pauvre enfant étais des oiseaux en cage, je me retrouve à jonglé entre les trois tables qui visiblement ne peuvent même pas attendre deux seconde, une boisson en plus, du champagne, un autre plat, de l’eau, je réussi à quelque seconde près à ne pas me rétamé par terre, et par la même occasion évite de renversé une bouteille de vin qui datte de mon arrière arrière arrière grand père, un soupire sort de ma bouche lorsque ses trois la quitte la salle plus que deux, que dieux me protège ou plutôt les protège.

      C’est fini, une pause, enfin, je suis exténué, nous avons eu des casse-croutes mais je doute que l’une de nous puisse avalez quoi que se soi !, quelque chose est certain, Pari, toi en t’aura bien mérité, nous avons cinq heur avent de repartir vers le restaurent pour une nouvelle séance de torture alors au tant reprendre des forces,

    « tiens, le temps commence à se rafraichir » remarqua Sindi

    « oui, c’est vrais, faite qu’il n’y ai pas d’orage !» continua Alex en regardent les nuages

    « non, sa ira, sa fais des semaines qu’il n’à pas plus, sa ne va pas commençais alors qu’on est en voyage » dis-je sur de moi

    « oui, j’espère que tu a raison » rajouta Sindi peut convaincu

    « oui, allais, vous voulez pariez, je dis qu’il n’y aura pas de pluie avant qu’on arrive à Paris….. alors vous venez avec moi à la piscine d’intérieur sa va nous d’étendre»

    « dac » s’écrièrent en cœur Sindi et Alex

    Si j’avais su se qui nous attendez se jour la, je n’aurais pas pariez, je ne me serais pas tant amusé sans rien préparé, si j’avais su, si j’avais su, si je n’avais pas étais aussi borné. Et même si sa avais étais le cas, qu’aurais je pus faire ?, le bateau étais déjà en route et nous étions à bord, qui aurais pus prévoir un telle drame, et qui es qui aurais pus nous aidé, je ne sais pas, je ne sais pas, et personne ne pouvais savoir.

     

    Désolais pour le retard le prochain chap ne mettra pas aussi longtemps, puisqu’il est presque prêt et oui normalement c’étais la suite de celui la mais j’ai préféré le garder pour moi ^^, et oui je suis méchante, mais dès qu’il sera écris l’histoire prendra sa véritable forme alors je préfère le laissé :P


    1 commentaire
  • chapitre 9: les difficulté commence

    La nuit étais tomber, nous nous retrouvions toute les trois dans notre chambre, bien que petite, elle étais extrêmement confortable, le temps c’étais refroidit mais sans plus

    « vous vous rendez compte, plus que trois jour et nous serons a Paris » dis Sindi les joues rougie d’excitation

    « Oui, mais il faudra nous organisé, comment on va s’y prendre là-bas ?» renchéries Alex

    Comme toute patate je me laissai tombé sur mon lit en expirent n’ayant absolument rien entendus de la conversation : « je suis crevé »

    Ni une, ni deux, Alex et Sindi se jetèrent sur moi en me chatouillent, mon souffle fus presque coupé lorsqu’elles me libérèrent enfin : « vous avez failli me tué ! » criai-je d’une voie que je voulais en colère, mais je ne pus empêcher un sourire de se formé sur mes lèvres, On s’installa toute ensemble sur mon lit,

    « Plus sérieusement, qu’es qu’on va faire a paris ? Ou on va dormir ? Qu’es qu’on va manger ? Et notre école ? »  dis Alex

    « ben, moi je propose, de rentré dans un lycée public ou il n’y aura pas de frais à payé, et de cherché un boulot a temps partiel » répandis-je

    « oui, là-bas aussi, je pence qu’il peut y avoir une maison de jeune comme chez nous, les pris y sont abordable, donc en pourra y resté le temps d’économisé pour nous payé un appart, et si chacune de nous a un salaire sa sera suffisant » rajouta Sindi

    Nous parlâmes encore quelque heur avant de s’endormirent toute les trois complètements épuiser.

    Des cris se fessais entendre de partout, le bateaux chaviré, et j’ouvra précipitamment les yeux tous comme mes deux amies, mon regard se dirigea vers le réveille ou étais marqué l’heur suivante : 04 :12 précise, au début j’avais crus que je rêvais mais très vite j’ai compris que malheureusement ce n’étais pas le cas, les hurlements redoublais et mon cœur se serra alors que le bateau fessais des tours de montagne russe, non quelque chose cloché, et le son du tonnerre qui éclaté confirma mes pensés, nos regards croisé, et l’incapacité de parlé. Nous prenons nos sac à dot et courrons vers le pont, là-bas une masse de personne survolté courrais de tous coté pour se jeté sur les bateau de sauvetage et bizarrement nous en fessions nous même partit, j’avais l’impression de vivre dans un film, personne ne voyais personne et nous étions ainsi invisible au yeux de tous, j’entendis soudain quelqu’un hurlé a la recherche d’un médecin, l’enfant en question passa a coté de nous en continuant son tintamarre l’air pale et complètement effrayé, il supplier les passager qui le poussais sans aucun scrupule, mon cœur se serra en voyant les larmes ruisselant le long de son visage et je me précipita a sa rencontre suivis de près par mes sœurs, en arrivant devant l’enfant qui devait avoir a peine huit ans, je lui tendis la main pour l’aidé a se relevé.

    « Pourquoi as-tu besoin d’un médecin ? »Dis Alex brisant ainsi le silence qui semblait régné depuis des décennies.

    « maman… elle a perdu les eaux, elle est en plain accouchement » dit il entre deux sanglots : « je vous en supplie, aidez moi »

    « oh mon dieu » fus les seuls mots que j’eu le temps de prononcé avant d’accourir guidé par le petit vers la chambre de sa mère.

    Des cris se fessais entendre, depuis maintenant quelque minute le Bébé avais commencé a apparaître, c’est Sindi qui géré l’opération, Alex l’assisté, et je ramené le nécessaire qui se trouvé dans la chambre tout en essayant de calmé Cris son première enfant complètement paniqué. Le premier cri se fis entendre, Sindi la pris dans ses bras, et je regardai le bébé en souriant avant de dire : « c’est une joli petite fille Madame Midi » cette dernière sourie alors que je lui déposé son nouveau née entre les bras : « Évangeline, bienvenus parmi nous » dis cette dernière

    « c’est un très joli nom »  dit Sindi.

    Nous acquissions par un signe de tête avant de se dépêché d’aidé la mère a enfilé son manteau, Evangeline fus enroulé dans quatre draps, et nous les aidions a sortir, par miracle tous le monde avais déjà embarqué, il resté encore deux place dans la première barque et nous les laissâmes à Mindi et son fils, le surveillant nous prescris d’allais de l’autre boue du bateau ou se trouvé une autre Barque avec quelque place, on courue alors telle des dératés, nous commencions a voir notre salut apparaître lorsque celui si nous fis faux bon, les lianes se coupèrent et le seul moyen de s’enfuir fus emporté par les vagues, lui et ses passager, mon cœur se serra, nous étions seul, seul sur un bateau desserre qui allais bientôt coulé. Je tombai agenouillé au sol, pourtant « sa ne devais pas se passé comme sa, il ne devait pas y avoir d’orage, on devait simplement arriver à Paris et prendre un nouveau départ, on aurait du avoir plain de nouveau souvenir, étions nous maudite ? Nous allons mourir ? C’est sa notre destin et de finir engloutit par les océans. » Une gifle monumentale s’abattus sur ma joue.

    « reprend tes esprits » hurla alors Sindi : « je t’interdis de pensé  à sa tu m’entends, je te l’interdit. Rien est perdus, tu m’entends, nous allons réussir et arrivé a paris en vie »

    Elles me prirent chacune l’une de mes mains pour m’aidez à me soulevé et je me retrouvai sur mes deux gambes, oui nous n’étions pas morte, nous ne somme pas encore morte.

    « Allais, Sindi tu prend tous se qui peut nous servir, des draps, de l’eau, de la nourriture, des vêtements, tous se que tu trouve et l’apporte ici, pendant se temps Lila tu viens avec moi en va se trouvé un moyen de ne pas coulais, on se retrouve dans 10 minute ici, dépêchons nous»

     

    En se sépara alors, pour commençais notre course effréné contre la montre, mon cœur fessais des allé retour alors que je risqué a tous moment de perdre l’équilibre le bateaux descendais petit à petit se remplissant d’eau, nous avons fais l’impossible pour réussir l’exploit de démonté trois porte en bois et de les ramenais la ou nous attendais Sindi, elle avait ramenais beaucoup de chose nous attachions les trois porte les une aux autre grâce à des lianes trouvé par les soins de Sindi, et par la même occasion bloquant les affères ramassé par Sindi, nous jetant alors le radeau a l’eau et y descendant, et que se fus une chance ou bien une malédiction, à peine étions nous éloigner de quelque mettre du navire que celui-ci sombra dans les flots. 

    voila enfin après six mois d'absence sur cette fic ou bien plus voici pour vous le chapitre 9, j'espère que vous avais aimé, s'il vous plais donné moi vos avie par com's et merci d'avoir lus byyyyyyye byyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyye :) ^^  tongue   happy


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique